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Benoit Bazzocchi, président de SmartAngels.
Benoit Bazzocchi, président de SmartAngels. / D.R.

Le crowdfunding ne fait plus recette. SmartAngels, actif dans ce domaine depuis 2012, prend acte de la forte baisse des volumes et du manque de perspectives de son métier historique et se tourne vers une nouvelle activité de « securities services ».

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