
« Le fonds pourra être lead ou follower et intervenir en early stage tout comme en late stage. Notre ticket devrait se situer initialement entre 500 000 et 1 million d’euros avec pour ambition de constituer un portefeuille de 15 à 25 lignes environ », Anatole Maizières, Wind
Wind décline dans le domaine de la souveraineté et de la défense la stratégie deeptech qu’il éprouve depuis près de 10 ans sur des sujets de climate tech. Actuellement en discussion avec des cabinets de conseil en gestion de patrimoine, des plateformes de crowdfunding, des réseaux bancaires et des banques privées, il ouvrira dans quelques semaines la souscription au fonds Technologies souveraines dont le hard cap a été fixé à 25 millions d’euros.
« Le lancement de cette stratégie est le fruit d’un alignement des planètes. La première tient à une évolution réglementaire récente instaurant un crédit d’impôt pour les particuliers qui souscriraient à des fonds deeptech dédiés à la thématique de la défense et de la souveraineté stratégique française et européenne. A titre personnel, cela fait longtemps que j’ai le souhait de lancer une initiative de ce type mais c’était tout simplement impossible jusqu’à présent, décrit Thierry Vandewalle, cofondateur de Wind avec Xavier Gury. Notre deuxième atout est notre expertise deep tech et notre maîtrise du deal flow : environ 30% des participations de notre fonds climate tech développent des technologies duales. Enfin, nous avons trouvé avec Anatole Maizières la bonne personne pour piloter ce fonds ».