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Régis Pélissier
Catherine Vialonga

Régis Pélissier et Catherine Vialonga

L’Établissement de retraite additionnelle de la fonction publique (Erafp) va entrer dans quelques semaines en phase d’instruction des candidatures à deux nouveaux mandats de gestion de stratégies d’investissement en non côté. En jeu, pour une attribution prévue en 2026, plusieurs lots représentant au total 1,6 milliard d’euros, dont un milliard couvrant le private equity, essentiellement du buyout small et lower midcap européen et nord-américain (30 %), et 600 millions à déployer en infrastructures, avec une poche plus particulièrement dédiée à la transition énergétique et écologique. Pour cet opérateur public sous tutelle de trois ministères, il s’agit de renouveler une première génération de mandats datant de 2017 et accordés à Ardian pour l’infrastructure et à Access Capital Partners pour le private equity.

« Nous sommes un établissement public et, à ce titre, l’ensemble de nos prérogatives et de notre fonctionnement est encadré par la loi. C’est aussi le cas pour la gestion de notre actif financier : la modalité de gestion privilégiée par la réglementation est donc la délégation à des asset managers professionnels. Nous avons toutefois obtenu une dérogation nous permettant d’investir dans des fonds multi-investisseurs, notamment non cotés, que nous sélectionnons en interne », pose Catherine Vialonga, directrice adjointe et directrice de la gestion technique et financière de l’organisme qui fête cette année ses 20 ans.

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