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Dans le monde très processé et cadré du capital-investissement, le facteur humain apporte une dose d’incertitude et parfois d’irrationnel qu’il peut être compliqué d’accommoder avec des espérances de TRI et de multiples de valorisation. S’il est toujours difficile d’évaluer l’impact positif ou négatif qu’un dirigeant peut avoir sur la marche de son entreprise, il est indéniable que celui-ci est bien réel. En 2022, 94 % des GPs interrogés dans le cadre d’une étude intitulée « Leadership Alpha in Private Equity »* estimaient que 53 % de leur retour sur investissement dépendaient de la qualité des patrons de leurs participations. Cité dans le rapport, le managing partner d’un fonds britannique ajoutait que « 75 % de nos échecs s’expliquent par le fait que nous avons soutenu la mauvaise équipe de direction ». Dès lors, rien d’étonnant à ce que les équipes d’investissement soient de plus en plus attentives à la gestion des ressources humaines de leurs sociétés de portefeuille et, pour certaines, s’équipent de professionnels de ces sujets.

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