
Dans une logique de plateforme full services, Aurys a intégré dès sa naissance en 2020 une activité de conseil et TS qui vient compléter ses expertises historiques d’audit financier, de comptabilité et de commissariat aux comptes, et son offre à destination, notamment, des fonds d’investissement.
Aurys est une jeune boutique d’audit et de conseil financier portant beaux les 60 ans qu’elle fête cette année. Portée sur les fonts baptismaux en 2020, elle s’appuie sur les expériences longues de plusieurs dizaines d’années de Visalys et d’EDC, créés respectivement en 1965 et en 1979 et rapprochés il y a cinq ans. Forte de ses quelque 250 employés, dont plus d’une vingtaine d’associés, et de ses 10 agences en France, elle revendique un positionnement full services couvrant la comptabilité et le secrétariat juridique, le commissariat aux comptes et le conseil. C’est principalement via cette troisième unité, constituée post-fusion en 2020, qu’elle intervient pour le compte de fonds d’investissement dans le cadre de transactions primaires ou de build-up.
« Notre activité au sein d’Aurys Transaction advisory services rassemble environ 25 experts, dont sept associés. Sa création s’inscrit dans une évolution du marché qui va de plus en plus vers la réinternalisation des métiers du conseil afin de répondre aux besoins de nos clients. Cette entité regroupe nos activités d’évaluation financière et de transaction services (TS), dont le rapprochement a du sens compte tenu de la vélocité des transactions et des calendriers de closing qui se raccourcissent, décrit Ghislain d’Ouince, associé fondateur de cette branche et du bureau parisien, recruté chez NG Finance. À ces expertises s’ajoutent des missions de commissariat aux comptes exceptionnels, ainsi qu’une offre structurée en consolidation et reporting. Nous réalisons environ 600 missions par an en évaluation financière, due diligences financières et commissariat aux comptes exceptionnels. Notre clientèle se répartit en deux parts quasiment égales entre les fonds et les corporates, certains d’entre eux étant parfois soutenus par des acteurs du private equity. »